
La diaspora togolaise : La grande muette ou la bombe a retardement ? Longtemps oubliée ou négligée la diaspora constitue une force indéniable a cause de son poids démographique et sa puissance financière dans l’économie nationale. La diaspora se retrouve au Gabon, Cote d’ivoire, Burkina, Niger, Benin et Ghana en Afrique, en Europe on les trouve en France, Allemagne, Belgique, Espagne majoritairement et aux Etats-Unis et Canada. Beaucoup de mouvement socio-économico-politique ont entraines ce flux a l’extérieur. Ceux qui sont partis pour les études supérieures des fois financées par le contribuable togolais ont préféré ne pas rentrer pour échapper au chômage qui les attende a leur retour. D’autres ont fui la vague des assassinats, réprimandes et autres opposition a un système politique démocratique ont traverse les frontières pour bénéficier de l’asile politique. Le troisième groupe victime de discrimination a senti le besoin de se chercher un bien être économique. Le niveau généralement bas des salaires, le pouvoir d’achat qui force parent a rationaliser le nombre de fois a manger par jour et même des parents obliges d’aller au lit affames pour permettre a leur progénitures de manger. La diaspora contribue a plus de 11% au PIB du Togo par l’envoi des fonds (Source BCEAO), il n’y a pas de raison qu’elle n’ait pas la parole. La diaspora a transféré plus de 231 millions de dollars US en 2010 ceci constitue plus du triple des appuis budgétaires accordes au Togo a titre d’aide par les pays développés. « MonPays » veut une politique qui facilite l’investissement de la diaspora et l’accès facile aux démarches administratives. Le visa d’entrée des double-nationalités et éventuelle par sursaut politique la participation active de la diaspora dans les élections . Le vote des togolais a l’Etranger doit devenir une réalité.